On se demande tous un jour ou l’autre comment ces petits chanceux ont fait pour en arriver là, à se taper tout un tas de bombes pendant que toi tu t’astiques tout seul dans ton lit.

Pour une bonne partie de la gent féminine, le porno est quelque chose de sale et dégradant. Certaines ne comprennent même pas sa raison d’être. A l’inverse, les mecs même s’ils ne l’avouent pas en sont clairement friands, car dans la réalité il y a aussi peu de limites dans les vidéos de culs que dans ta tête de petit pervers.

En fait, je ne connais pas une seule personne qui ne se fait pas une petite vidéo de temps en temps pour décharger la pression ; environ 30% des recherches sur Internet sont sexuelles, c’est un gros business et s’il y a des vidéos de gens qui font caca dans la bouche de jeunes filles, c’est qu’il y a une demande derrière. Le monde est moche.

Mais comment devenir acteur ? Déjà, il faut savoir qu’il n’y a pas tout le monde qui peut se le permettre. Les prérequis sont vraiment stricts et c’est en sachant tout cela qu’on réalise que les acteurs sont choisis au compte-gouttes.

Suis-je fait pour ça ?

La pornographie, c’est le culte du physique. Pour entrer dans le domaine, il faut forcément avoir un corps esthétique avant même de penser à plus loin. C’est ça qui te fera entrer ou non dans le milieu.

Tu es gras ? Oublie. Tu n’es pas assez musclé ? Oublie aussi. Les acteurs sont présélectionnés pour leur physique, et ça paraît évident quand on regarde un porno. C’est d’autant plus vrai pour les actrices qui pourront au mieux faire des vidéos semi-amateurs organisées par des réalisateurs moisis et pour lesquels elles seront à peine payées si elles ne correspondent pas à un physique recherché.

Oui, dans ce domaine même les filles considérées comme bonnes en chair ont des formes jugées esthétiques. Même réflexion pour celles qui sont très minces. Si tu n’appartiens pas à une forme demandée, tu n’arriveras sans doute à rien.

Pour les mecs, c’est plus simple, il y a un modèle quasi systématique : il faut être musclé et non gras. En ce qui concerne la tête, les producteurs s’en balancent tant qu’il n’y a pas de défaut flagrant.

Ensuite, il faut être apte à tourner et ce n’est pas donné à tout le monde. Avoir une tendance échangiste est un prérequis crucial car l’acteur doit pouvoir triquer quel que soit le contexte ; qu’il y ait du monde autour ou non, que le réalisateur lui fasse des signes pour changer de position toutes les minutes ou non.

A l’inverse, il faut savoir se contrôler. Autant dire qu’un précoce n’a rien à faire dans un tel domaine. L’endurance à ce niveau ne suffit pas, il faut être bon physiquement, pouvoir soulever sa partenaire ou limer sous tous les angles et pendant de longues durées sans s’arrêter ; on est bien loin d’une relation charnelle classique où la durée change tout le temps.

Et la taille ? Ça a évidemment son importance mais il n’y a pas besoin d’avoir un bras à la place de la bite pour tourner. Plus tes attributs seront gros, plus tu seras différencié des autres rapidement et pourra mettre la main sur de beaux contrats et être demandé, mais on peut très bien s’en sortir avec une taille un peu meilleure que la moyenne.

Est-ce un milieu risqué ?

On pense souvent que tout ce qui concerne le cul est glauque, c’est souvent vrai. La plupart des acteurs/actrices côtés ou non sont drogués. Ça ne fait pas d’eux des tueurs en série.

Les check-up concernant les maladies sont systématiques et il est vraiment rare de choper quelque chose quoi qu’il y ait quelques scandales en ce moment.

Il y a plusieurs cas de meurtres, mais cela reste extrêmement rare et est lié au lien parfois étroit entre une certaine mafia, la magouille et la production ; tout ce qui se transforme en mine d’or est touché par des magouilleurs, surtout dans les domaines très borderline comme celui-ci.

Comment passer un casting ?

Trouver un casting, c’est vraiment compliqué. En France, le porno n’est plus ce qu’il était. Plus largement, les modèles économiques se transforment à cause d’Internet et son trop-plein de gratuité ce qui ferme largement les portes du milieu.

Le nirvana du casting, c’est à Los Angeles qu’on le trouve car c’est là qu’est rassemblée la majorité des sociétés de production. Parfois, tu peux même commencer par récupérer les infos des différents studios pour appeler et peut-être passer un entretien.

En ce qui concerne l’Europe, c’est le vide intersidéral, exception faite de quelques villes de l’est. Tu risques fortement de tomber sur des escroqueries ou des réalisations bas de gamme, et il te faudra habiter dans une grande ville pour espérer le moindre tournage.

Comment se faire pistonner ?

Le meilleur moyen d’entrer dans le milieu est d’être pistonné car les nouveaux acteurs sont peu convoités lors des castings. Ils sont en surnombre par rapport aux futures actrices. Le piston peut arriver de toutes parts. Comme dans tous les autres domaines, il te faut créer des connexions avec des gens déjà à l’intérieur, que ça soit des acteurs, actrices, producteurs ou même ingénieurs son/image.

Pour se faire, fréquente les salons, les soirées borderline et parle, parle encore. Tu finiras par te faire pote avec quelqu’un qui connait quelqu’un et on te donnera ta chance. C’est aussi simple que ça.

Combien ça rapporte ?

Un acteur est moins bien payé qu’une actrice exception faite des scènes homosexuelles, ce qui paraît logique. Aujourd’hui, tu seras payé une centaine de billets max en France pour une scène si tu es un inconnu, et ça sera plusieurs milliers d’euro par scène si tu es très bien côté et sur l’international.

Les scènes anales sont mieux payées pour les filles que les classiques, et toutes les demandes un peu spéciales permettent de percevoir des bonus qui se négocient, mais il faut bien réfléchir à ce que tu/ta partenaire accepte de faire ou non, et ne rien regretter une fois lancé. Aussi, trop de refus peut fermer des portes.

Une fois une vidéo tournée, elle te suivra toute ta vie ; il faut être prêt pour ça.

Tu paniques et te retrouves devant l’écran à demander des trucs horribles à Google. Tu tombes sur ce blog moisi où on avait rien publié depuis 6 mois et t’espères vraiment pouvoir éviter la prison et le traumatisme de la savonnette. T’inquiète, je suis là.

La scène du crime

D’abord, assure-toi qu’il n’y ait pas de témoin, et si ce connard de voisin arrosait ses plantes au moment fatidique, n’hésite pas à te foutre encore plus dans la merde en l’étouffant dans ses fleurs.

Si c’était en plein jour, évite de trop déplacer le cadavre, ça pourrait éveiller les soupçons des passants. Met un truc vite fait sur le corps et va mater les Chtis à Las Vegas en attendant la nuit, ça t’évitera de trop penser.

Il fait nuit ? Tu as repris ton sang-froid ? Alors passons à l’action. Mets le cadavre à l’intérieur et prépare-toi à devenir charcutier de renom.

Le découpage

Enfile tes gants en plastique, va chercher ton meilleur couteau de boucher et commence à découper le corps.

T’as pas de couteau ? On t’y reprendra plus à tout acheter chez Ikea. Va faire tes courses dans une autre ville, ça serait con de croiser tes potes au supermarché du coin ; ils savent très bien que tu sais pas cuisiner et l’adrénaline te donne une gueule de cocaïnomane en manque.

Une fois que tu as tout ce qu’il faut, le mieux c’est de commencer par les bras et les jambes mais si le fait de voir ses yeux vitreux te dévisager t’es insupportable, commence par la tête. Pour bien trancher, il suffit de sectionner les zones tendineuses, un vrai plaisir à la découpe.

Pour plus de détails, cherche des infos sur « comment découper un cochon » sur Google ; le principe est le même, et personne trouvera ça suspect en voyant ton historique de la journée.

Une fois correctement découpé, tu peux mettre tout ça dans des sacs poubelles « handy bag » ; t’es pas là pour faire des économies, et si tu veux prendre le risque qu’un sac Lidl s’arrache au milieu de la rue, libre à toi. Moi pour mes cadavres, je lésine pas sur les moyens.

N’oublie pas de foutre du détergent dans les sacs avant de les fermer, ça évite les odeurs et brouille les pistes. Saletés de chiens policiers.

L’enterrement

Place le paquet dans le coffre de ta voiture et c’est parti pour un tour dans le désert. Aucun désert près de chez toi ? Alors trouve une forêt, une montagne, ou n’importe quel endroit où personne ira fouiner.

Creuse un trou bien profond, jette le cadavre et reconstitue la zone pour que tout ait l’air naturel. Hésite pas à foutre quelques noyaux qui trainent par là pour que des trucs poussent sur la motte de terre.

Et évite d’ajouter le petit détail qui tue genre croix en bois comme à l’enterrement de ton hamster ; t’avais qu’à savoir t’en occuper.

Alternative : la dissolution

Tu connais pas Breaking Bad ? Eh bien tu devrais t’y mettre tout de suite. Dans la série on apprend comment dissoudre un corps pour qu’il n’en reste aucune trace. Beaucoup plus pratique que de découper et enterrer, c’est ma solution favorite quand j’ai un différend avec quelqu’un.

D’après la série, il te suffit de quelques bidons d’acide fluorhydrique ainsi qu’un gros conteneur fabriqué en polyéthylène pour jouer au chimiste, mais l’acide sulfurique est préférable pour ronger un corps entier ; va faire un tour à bricomarché.

Découpe le corps, fous le tout dans le conteneur et verse l’acide de ton choix. Des branlettes pour patienter et en quelques heures, il ne reste plus rien du corps, les os mis à part.

Refile le tout à quelques porcs affamés et ton pote ne seras plus qu’une histoire ancienne !

La faille juridique

Ce petit malin a réussi à écrire « Omar m’a tuer » dans l’herbe avant de clamser ? T’avais pas vu la trace et maintenant t’as les flics au cul ? Pas de panique, inutile d’aller chez l’armurier du coin pour faire un massacre public et finir en beauté ; la faille juridique est là pour ça.

Tu connais pas l’histoire de l’étudiant japonais qui avait bouffé une néerlandaise car il la trouvait appétissante en cours ? Et bien figure-toi que ce japonais n’a pas été condamné pour son crime bien qu’il l’ai tué à coup de fusil, découpé puis mangé en partie.

Pourquoi ? Techniquement, il a été condamné en France et foutu dans un asile, car c’est ce qui se passe quand on mange des gens. Il a ensuite été transféré au Japon où il était considéré comme responsable de ses actes, mais on ne juge pas un même crime deux fois. Final, il est non seulement libre mais a fait de l’argent sur son histoire.

Tu as le plan de secours : fais-toi passer pour un psychopathe qui s’est fait violé par son oncle étant bébé, fais genre que ça va mieux maintenant, et avec un peu de chance on te libérera après un temps ! Bonne chance.

Et avant de commencer, arrête de lire ces conneries d’articles sur les sites de filles où on te raconte que ce qui compte c’est la passion ; un mec, c’est super mécanique, il y a de bonnes façons de le faire, et de mauvaises. Moi je suis là pour te dire la vérité à ce propos.

Aussi, je ferai abstraction de la communauté gaie qui sait très bien comment se pomper la saucisse sans problème et n’a besoin d’aucun conseil. Pour le reste, je serai cru et ne te cacherai rien, car chez BoringDay notre première passion, c’est l’enseignement.

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron »

Certaines filles sortent la fameuse disquette « j’aime pas le faire, je trouve ça dégueu ». Arrête les excuses bidon, on a très bien compris que tu savais pas t’y prendre et que tu en avais honte, mais qu’au fond si tu étais la reine de la pipe tu en ferais à tour de bras et dans tous les coins de rue ; car faire s’extasier son partenaire et sentir qu’il kiffe vraiment ça, c’est un vrai plaisir.

C’est à force de le faire que tu y arriveras bien, comme pour tout. Décoince-toi la bouche et lance-toi, tout en suivant les conseils qui suivent.

La technique bateau améliorée

Il y a un truc que toutes les filles savent faire ; mettre la bouche au bout du gland et branler son partenaire en même temps, sans bouger. C’est sûrement la première chose que tu as apprise. Sache que cette technique, elle est sympa mais loin d’être exceptionnelle.

Pour le rendre fou, il ne faut pas grand chose de plus. Accompagne ton bras quand tu la lui touches. En bref, au lieu de laisser ta bouche sur le gland croyant que c’est l’extase pour lui, essaie de suivre le mouvement de ta main avec tes lèvres ; enfonce tout ça et tente d’aspirer en même temps, l’effet est garanti.

Le petit bonus de cette technique ? Si tu te sens à l’aise à faire ça, fais des rotations du poignet et n’hésite pas à changer les angles de pénétrations dans la bouche ; que ça colle les joues, que ça se frotte, il faut juste éviter le contact entre tes dents et son gland. Pour le reste de la verge, elle est pratiquement insensible aux dents, tu peux te lâcher.

Savoir se lâcher

Tu es déjà en train de lui avaler le gland tout entier mais tu ne fais pas de position particulière pendant l’acte ? Il manque un point important au spectacle. Quand tu lui fais plaisir, n’hésite pas à te mettre dans des positions sexuelles qui le feront kiffer et venir encore plus vite ; je pense notamment au fait de se courber en mode levrette afin de faire ressortir tes fesses ; il faut qu’il y ait du mouvement, voir qu’il puisse tâter à ne plus savoir où donner de la tête.

Se lâcher, ça ne vient pas que dans les positions, n’hésite pas à lui lécher la verge et redescendre vers les couilles, ou même les lui malaxer de temps en temps. Le coup des couilles, c’est particulièrement pratique quand tu fatigues de la mâchoire  mais n’oublie pas de le branler en même temps, c’est important de maintenir la pression.

Je te vois venir, tu ne veux pas passer pour une salope et c’est là que tu n’as rien compris à la psychologie masculine. Tu baises avec toute l’équipe de rugby du coin ? Tu es une salope. Tu es une grosse cochonne au lit avec ton copain ? Tu es un bon coup, voir un très bon ; il ne dira que du bien de toi et ses potes ne feront que l’envier s’il est trop bavard.

La profondeur d’esprit

J’aborde un point qui en effraye plus d’une : les gorges profondes. Sache que c’est un des trucs qui plaît le plus aux mecs, même s’ils n’en parlent pas ; c’est fantasmagorique et ça fait vraiment du bien, car avoir le sexe englouti par une bouche c’est juste agréable.

Pas besoin de te faire vomir, essaie d’aller au plus profond que tu puisses de temps en temps, de manière successive si tu y arrives et il en sera très content.

La vitesse

Toutes ces techniques ne suffisent pas, il faut savoir que la vitesse est un point crucial pour le plaisir. Que ça soit en gorge profonde ou les techniques de pompage plus classiques, les accélérations jouent énormément.

Si tu fais des mouvements rapides, tu le feras venir vite et si tu ralentis le mouvement de temps en temps, il sentira au mieux tout ce qui se passe. Alterne entre les deux jusqu’à qu’il n’en puisse plus, tu n’auras plus qu’à accélérer un petit coup pour le finir proprement.

Le clou du spectacle

Oui oui, je sais. Avaler c’est répugnant et c’est physiquement impossible pour toi. Encore une disquette qui ne vaut pas un clou mais que les mecs acceptent par peur de vexer la gent féminine.

Entre nous, le goût ne doit pas être très ragoutant, mais ce n’est pas la mort non plus ; lui est prêt à faire n’importe quoi à ta foufoune, même si tu joues à la fontaine, alors arrête de faire croire qu’un peu de jus dans la bouche va tuer ta féminité. C’est protéiné à ce qu’il paraît, donc ça fait maigrir. Puis au pire, prépare un truc sucré sur le côté pour quand ça sera fini et tu oublieras vite ce moment.

Si tu ne peux vraiment pas avaler, recrache tout simplement. En bref, il y a toujours des solutions et il faut prendre conscience que cela fait une énorme différence pour ton partenaire. Le fait d’arrêter à la fin change littéralement les sensations, le ressenti est moins bon ; comme si les mecs finissaient leur léchage de moule en enlevant la bouche.

Les meilleurs moments pour s’y mettre

Là tu te dis qu’une petite pipe ça se fait dans un bon lit confortable. Et bien détrompe-toi. Les meilleurs moments pour le faire c’est dans les endroits insolites, la rue, la forêt, pendant qu’il conduit sa bagnole pourrie, et mon favoris : au réveil. Car ça fait toujours plaisir de se faire réveiller comme ça.

S’il faut que tu retiennes quelque chose, c’est l’effet de surprise qui compte, peu importe l’endroit ou l’heure.

La belle conclusion

Après, les mecs ont chacun leurs goûts en matière de pipe, certains aiment les doigts dans le cul, d’autres pas. Mais avec tout ça, il y a vraiment de quoi lui laisser un bon souvenir, alors tente de garder quelques-unes de ces techniques et fais-lui comprendre qui est la reine de la pipe.

PS : Comme pour l’article sur les micropénis, t’es pas obligée de liker, mais je sais que tu es passée petite coquine.

Alors comme ça, tu as regardé Le Parrain, Scarface et Les Affranchis plus de fois que tu ne t’es branlé devant un bon porno des familles ? Pas de doute, ta destinée, c’est celle des méchants. Enfin bon, laisse-nous t’avertir de nombreux points, car dans le cas contraire tu risques de finir comme tous dans tous ces films où l’un des personnages prend la grosse tête et se fait buter par le héros au tout début du long-métrage.

Ainsi donc, il serait tout d’abord préférable de savoir quelques petites choses : dans la vie réelle, si tu choisis cette vie-là, mets de côté ta famille et ceux qui te sont chers, car en plus de les décevoir, tu risques de les mettre en danger. Deuxième point : les fusillades seront rares, et si elles ont lieu, elles ne dureront pas longtemps. En effet, tout se joue à l’instinct, et à la moindre balle, tu peux clamser comme un vieux boloss. Enfin, la prison sera une étape obligatoire, car bon oui, au début faut bien se faire la main et généralement, tu te fais chopper à un moment ou à un autre. Ainsi, évite de faire des choses pas nettes alors que tu es un sage étudiant en quête d’un diplôme : la prison, ça fait moyen sur un C.V.. À moins que tu ne comptes travailler en Russie, bien sûr !

D’ailleurs, la question des origines se pose sans cesse. Partout dans le monde, il existe des réseaux criminels qui demandent, en plus d’une certaine détermination, un sang précis. Tu es italien, et encore mieux, sicilien ? Et en plus, tu sais cuisiner des boulettes de veau au parmesan ? Génial, tente ta chance avec la Cosa Nostra, pour ne citer qu’elle. Tu as du sang soviétique, et tu partages la même passion que Staline pour la vodka ? Ça tombe bien, elle implantée partout, à Paris comme à Londres (pas la vodka, la mafia).  Bon, si tu es Corse, restes en France et fonces à Marseille, tu devrais trouver du boulot très rapidement. Quant aux Français pures souches, ne t’inquiéte pas, il existe des réseaux à travers tout le pays pour se faire un nom. Intégrer ces équipes-là, c’est faire preuve de patriotisme envers ses géniteurs et être fier de sa provenance.

Être un mafieux, c’est cool. Mais il faut faire quoi en fait ? C’est très simple. Déjà, il faut savoir que les activités diffèrent en fonction du groupe intégré, mais elles se rejoignent plus ou moins toutes : trafic de drogue, recel d’objets volés, prostitution, revente d’armes, racket… Dis-toi que c’est comme une entreprise : y’a du commerce, des employés à gérer et il faut savoir prendre compte de son environnement. À la limite, tu peux aussi te lancer dans le braquage de banque, c’est sympa, et on peut se prendre pour De Niro dans Heat. Essayez juste de ne pas te faire buter, toi aussi… En plus, comme on est vraiment des bons à BoringDay, on t’a déjà fourni quelques astuces pour se lancer dans la drogue et les flingues : c’est déjà un accès facile vers le crime organisé ! Alors ne fais pas genre tu as peur de rejoindre le réseau, tu as toutes les cartes en mains. Ne fais pas ta pédale.

Bien sûr, si tu es doué dans ce que tu fais, tu graviras les échelons et tu auras alors davantage de chance de te faire de l’oseille en grande quantité : ainsi, à l’instar de ces charmands kékés, tu pourras t’acheter un Q5, mettre Booba à donf’ et rouler très vite dans les rues piétonnes. N’est-ce pas là ton rêve ?

Ou sinon, tu fais usage de ton argent pour soudoyer les flics et ton banquier, bien que le plus simple soit d’ouvrir un petit compte dans un de ces nombreux paradis fiscaux. Oui, le cash, c’est super beau, mais à part pour t’acheter des malabars au melon ou te torcher le fion avec, tu ne vas pas pouvoir en faire grand-chose. Heureusement, ce métier te donnera des relations un peu partout vers les personnes les plus corrompues du pays, et tu pourras jouir de ton fric assez rapidement. À toi les putes, la coke et le champagne sur les tétons !

Mais surtout, tu accèderas à la reconnaissance des gens qui t’entourent. Ne t’attends certainement pas à ce qu’on vienne te baiser la main comme le Don –range tes rêves de grandeur cow-boy  – mais sache simplement qu’une fois que les gens seront au courant du mec que tu as enterré au fond de ton jardin, à côté de Thomas le poisson rouge décédé quand tu avais 4 ans, ils hésiteront à deux fois avant de te regarder comme un cassos et iront t’offrir leurs services. Comme l’a dit le maître Robert dans Il Etait Une Fois Le Bronx en parlant du mafieux du film : « Les gens ne le respectent pas, ils le craignent. »

Bref, cessons ces phrases qui font réfléchir, l’épreuve de philosophie est passée (comment ça, tu dois la repasser lundi car on a volé les copies du prof ?). En revanche, en parlant de réflexion, il est très important de savoir que ce n’est pas parce que ce job implique violence et assassinats que seuls les muscles comptent. Tu admires Lucky Luciano, Al Capone et Toto Riina ? C’était peut-être des gens peu cléments envers leurs ennemis, mais avant tout, c’était des putains de keums intelligents, avec un sens de la gestion et des affaires réellement aiguisé. Ainsi, si tu ne trouves pas d’emploi malgré tes études de commerce, fais usage de ton cerveau pour le monde criminel, on t’accueillera à flingues ouverts.

Bien sûr, si en plus d’être pas con, tu sais jouer des poings et que tu es quadruple ceinture noire de fist fucking, ou tout autre sport violent, alors tes chances de percer sont maximisées. Vraiment, là, on vient de te découvrir ta future vie.

Voilà voilà. Avec ce super article, tu devrais être vachement motivé pour rejoindre les rangs des multiples gangs du monde entier : c’est non seulement l’occasion de se faire du fric en faisant des choses insolites (casser les couilles aux keufs, assassiner des raclures ou permettre aux jeunes adolescents de triper en pleine rave-party), mais aussi celle de gagner le respect des autres et de devenir quelqu’un de côté. Et même, si tu te démerdes correctement, tu pourras être adapté au cinéma par Scorsese, on écrira des bouquins sur ta vie et tu finiras par te taper une des stars hollywoodiennes filles d’acteurs célèbres. Merci le Crime, merci Joe Pesci, et merci BoringDay.

Oh, tu trouves ça dégueulasse ? Je peux comprendre. Cela dit, tout dépend de la moule de ta partenaire, car il est clair que l’on peut tomber sur toutes sortes d’animaux sauvages. Et si tu veux lui faire plaisir, il est important que toi-même, tu te fasses plaisir. Et ce n’est pas toujours évident. Il existe effectivement des spécimens auxquels il sera difficile de s’adapter : de la touffe de poils étouffante à la femme fontaine noyant des ardeurs sous une rivière d’épaisse mouille, en passant par les lèvres retroussées rappelant étrangement le facehugger d’alien, difficile d’y trouver son compte…

Une fois que tu as saisi le genre de chatounette qui te plaisait, tu vas enfin pouvoir prendre ton pied – enfin, c’est une image, hein – et t’y attaquer afin d’introduire l’ébat sexuel de façon distinguée. Le cunnilingus, qui signifie lécher (« lingere ») une vulve (« cunnus ») est une pratique que l’homme applique depuis des millénaires. Afin de rendre hommage à cette coutume des dieux, BoringDay t’a filé quelques petits conseils pour lui faire gonfler le clito de manière tout à fait légitime.

Tout d’abord, il est bon de savoir si ta copine est clitoridienne ou vaginale, c’est-à-dire si selon quel organe elle parvient le plus facilement à l’orgasme, histoire de savoir sur quoi t’attarder quand tu lui feras la petite gâterie. Évidemment, ce n’est pas à une question à poser à n’importe qui et n’importe comment, le mieux étant encore de le découvrir par soi-même afin d’éviter toute situation gênante. Sérieux, tu te vois avec une meuf que tu essaies de serrer depuis des mois et lui demander enfin avant l’acte une telle chose ? « Alors Germaine, tu préfères que je te défonce ta chatte en profondeur ou juste sur la surface ? »

Une fois que tu es à peu près sûr de ce qui émeut le plus celle qui est dans ton lit, tu vas enfin pouvoir t’atteler pleinement à la tâche. Ainsi, si elle clitoridienne, tu sais désormais sur quoi te concentrer : sers-toi de ta langue en léchant délicatement, fais usage de tes doigts en titillant et n’hésite pas à t’en servir pour mieux atteindre l’organe. Tu peux également lui glisser quelques doigts, c’est même conseillé, ça ne lui fera que plus de plaisir. Attention, le but n’est pas de lui bouffer la rondelle comme si tu mangeais un 280 sauce cheddar au McDo : il faut que tu sois ferme, mais ne te crois pas dans un film de boules non plus. Personne n’est là pour te regarder, et encore moins pour se branler sur tes actes. Il ne faut pas oublier que le clitoris est un organe extrêmement sensible, alors ne le malmène pas : de toute façon, tu verras bien comme la meuf réagit. Mais si elle pleure, essaie de passer à autre chose de plus agréable, comme lui déposer délicatement ta bite sur son front un baiser d’amour.

En revanche, si madame est vaginale, alors tu vas devoir y aller en profondeur. Tu peux bien entendu t’occuper de son clitoris comme mentionné ci-dessus, le tout est de se canaliser le plaisir ce qui lui fait le plus d’effets. Ainsi, fourre ta langue dans son vagin, et n’hésite absolument pas à te servir de tes mains, enfin de tes doigts – à moins que le fist-fucking soit ta tendance du moment – pour y faire des va-et-vient sensationnels. Tu peux écarter les lèvres afin de mieux faire le travail, elle n’en sera que plus ravie. Cependant, il existe tout un tas de gestes annexes qui rajoutent bien du plaisir.

Par exemple, et c’est pareil pour les hommes, tu peux regarder ta partenaire dans les yeux pendant l’acte. C’est assez spécial, et beaucoup n’assument pas, mais ne nous voilons pas la face : avoue que te pomper le dard en te regardant droit dans les mirettes, ça a toujours son petit effet. De plus, quand ta bouche travaille, sers-toi de tes mimines pour toucher autre chose que son minou. Caresse son ventre, raidis tes doigts, ou griffe la même, tant que tes gestes sont en adéquation avec ta façon de faire, c’est du tout bon. N’hésite également pas à faire un passage sur les tétons, les femmes sont généralement sensibles de cette partie du corps.  De même, avant le cunni, tu peux descendre tout au long de son corps, escale « léchage de tits » comprise. Ça fera monter le désir, et elle commencera à te parler salement, comme dans les films de cul.

Oui bon, je plaisantais pour les films X, cela dit, on aime parfois parler comme un sauvage à sa partenaire. Cette sorte de jeu verbal est bien sûr à prendre au second degré, ou pas. « Fais taper ta glotte contre mon gland », par exemple, c’est poétique et ça le fera mouiller assurément comme une truie. Si tu cherches d’autres vers de la sorte, n’hésite pas à demander, on en a un paquet un stock, testé et approuvé par mesdames. Bien que la plupart du temps, ces dernières aient répondu par une grosse baffe dans notre gueule, sans que l’on sache trop pourquoi… Sûrement un signe sexuel féminin comme quoi elle est très excitée. Certainement, même.

Bref, une fois que ta copine s’est tordue dans tous les sens car tu l’as chauffée comme un sacré pervers, tu peux passer à l’acte ultime, c’est-à-dire la pénétrer DANS L’ANUS OH OUAIS.  Et pour cette partie, on te laisse assurer comme un grand. On t’a déjà donné un certain lot de conseils pour montrer ton expérience et surmonter les imprévus, alors tu devrais avoir de quoi faire pour la faire monter au septième ciel et qu’elle n’y redescende plus. Défonce-la, épuise-la, filme-la, jouis dans sa bouche, bref, fais-lui l’amour comme tout bon amoureux qui se respecte.

À l’instar de certains d’entre vous, peut-être, le baccalauréat commence lundi : philosophie, mathématiques, histoire-géo, mercatique… Autant de matières reloues qui donnent plus envie de répandre son foutre dans des demoiselles lors de rave-party sauvages que de réviser sur son bureau poussiéreux. Tu as envie de t’amuser, pas de ressembler à tous ces cons à binocles. Et c’est tout à fait humain ! C’est pourquoi il existe quelques méthodes de triche efficaces, histoire de passer ces épreuves en n’en branlant pas une. BoringDay t’en a sélectionné plusieurs.

Tout d’abord, un classique. Le jour de l’examen, ramène toi avec un pantalon large. Ou bien un petit carnet. Ou les deux et fais pas chier. Voyant que tu sèches devant telle question comme prévu, car tu es un putain de glandeur incapable de réviser, demande sagement à aller aux chiottes. Là, c’est bien connu, un des surveillants t’accompagnera jusqu’à la porte des toilettes, à croire que ce dernier cherche à t’écouter chier dans les moindres sonorités.

C’est assez dérangeant, mais tu lui casseras la gueule plus tard. Sors vite ton calepin et observe ton cours, qui y sera inscrit, mémorise bien ta réponse et dissimule-le à nouveau sous ton calbut. N’oublie pas de tirer la chasse d’eau et regagne ta place comme un petit intello. Cette technique marche plutôt bien, il suffit simplement de garder ton sang-froid et de ne pas faire de bruit de papiers une fois au pipi-room. Au pire, coule un bronze pour de vrai afin de couvrir tout vacarme et d’intoxiquer ce petit bâtard de pion !

Malheureusement, à moins d’être soudainement pris d’une salope de diarrhée, tu ne vas faire trente-six aller-retour aux toilettes : non seulement tu risques de te faire griller, mais tu vas aussi passer pour un bon gros dégueulasse à la merde au cul. C’est bof.

Il te faut donc quelque chose de plus solide, que tu pourras utiliser plus souvent. La calculette, c’est bien sûr l’outil idéal pour y foutre tous ses cours sans rien branler, du moins si elle possède une prise mini-USB. Effectivement, si cette dernière est assez récente, tu pourras la connecter à ton PC facilement et y balancer tous les textes du monde. Evidemment, ne sors pas ta machine en pleine épreuve de philosophie… Sauf si tu cherches à prouver de grands principes formateurs tel que 1+1=11, mais à moins que tu fasses un exercice dédié à Jean-Claude Van Damme, tu auras juste l’air d’un con et tu seras cramé en un rien de temps. Uniquement pour épreuve avec chiffres, donc.

L’autre méthode la plus simple et la plus répandue reste et restera la copie. Ce qui est nécessaire ? Des yeux de caméléons pour loucher sur les voisins sans tourner la tête. Ceci fonctionne pour tout, ou presque, que ce soit pour les épreuves scolaires comme pour le Code de la Route. Un petit coup d’œil rapide sur le voisin, et hop, tu as ta réponse, petit enfoiré ! En plus, c’est particulièrement efficace sur les QCM, et tu peux éventuellement zoomer sur les magnifiques boîtes à lait de ta voisine.

Il existe bien sûr beaucoup d’autres méthodes pour déjouer les règles, du style créer un langage codé avec son pote, s’écrire sur le corps comme un badass ou bien encore soudoyer un des surveillants. Mais entre nous, la plus utile des méthodes reste la révision, l’acharnement au travail et certainement pas la triche car, nous te le rappelons, elle est sanctionnée d’une interdiction formelle de passer tout examen pendant cinq ans, que ce soit le permis de conduire ou le brevet des collèges.

Bon. Incontestablement, on plaisantait, on ne s’est pas cassé les couilles à écrire un article sur la triche pour te donner des bonnes raisons de ne pas le faire à la fin. Soit : prépare ton carnet, ton pantalon, tes stylos à encre invisible, et tout ce que tu veux qui te servira à enculer les normes de la société, et fonce. Sois un cheateur, un vrai !

Seulement voilà. Tout le monde n’a pas envie d’être père, et encore moins de chopper une saloperie comme le SIDA ou une putain de mycose. Il faut donc se protéger, et le préservatif est le moyen de protection le plus courant. Enfin, si ton partenaire a de l’herpès, ne cherche même à mettre une capote et fuis en courant.

Le problème, c’est que malgré la fonction protectrice de la capote, elle comporte certains défauts rédhibitoires. Et tu vois de quoi je veux parler, car même si tu es puceau, on sait très bien que tu t’es déjà amusé à te palucher avec le préservatif qu’on t’avait donné au collège. Alors ? Qu’est-ce que tu as ressenti ?

Fais pas genre c’était l’extase, on sait très bien qu’avoir un bout de latex lubrifié sur la quéquette, ce n’est pas très excitant. Première raison de ne pas mettre de capote, donc : c’est anti-érotique au possible. Ça colle, c’est moche, c’est chiant à mettre, bref, sensationnellement, c’est de la merde.

Ce phénomène anti-ergonomique et peu excitant a donc tout naturellement des effets néfastes sur la queue : elle débande. Tu te revendiquais bon baiseur, mais te voilà avec une demi-molle ? Tu peux toujours te rediriger sur notre article pour continuer à troncher ta partenaire tranquillement, mais pour éviter cette situation délicate, il n’y a pas trente-six moyens : ne mets pas de capote.

De plus, ce produit chimique que l’on appelle « latex » est recouvert d’un lubrifiant, qui en plus de faire gerber un certain nombre de nanas car absolument dégueulasse (ouais, il existe des goûts, mais mesdames, ne me dites pas que sucer du plastique à la pastèque est agréable) a des vertus anti-plaisir, voire douloureuses lors du rapport. En gros, la sensation de ta bite contre une chatte fraîche, c’est inimitable et ça vaut bien mieux que de se taper un gosse par inadvertance.

Et franchement, comment pourrait-on t’en vouloir ? Ta meuf a vraiment peur de tomber enceinte ? Reste en chien, fais ton affaire, éjacule au plus profond de son minou, et si elle te casse trop les couilles parce que le métier de Maman n’est pas encore pour elle, fonce à la pharmacie pour lui prendre une pilule du lendemain. Ça coûte un peu plus de six euros, et c’est d’une immense efficacité lorsque c’est pris peu de temps après avoir fait l’amour baisé. En plus, c’est gratuit pour les mineurs !

Bien sûr, le plus simple à ce niveau-là reste encore la pilule contraceptive tout court, que ta nana ingurgitera chaque soir. Comme ça, si jamais elle tombe enceinte, tu pourras tout remettre sur sa gueule parce qu’elle a oubliée de la prendre comme une conne, et tu seras débarrassé de toute culpabilité.

En revanche, ne pas mettre de capote, c’est aussi s’exposer aux multiples maladies, et ça, ça craint vachement. Ainsi, le mieux est d’aller faire régulièrement des tests VIH, et d’avoir toujours son petit papier d’attestation comme quoi tu es en bonne santé, que tu pourras dégainer lors de la première chaudasse ramenée dans ton lit. Comme ça, elle sera rassurée !

Quant au préservatif féminin, je ne te le conseille évidemment pas le moins du monde. À moins que l’idée d’enfoncer ta teub’ dans une chaussette d’enfant en plastique transparent t’allèche, bien entendu. Cela ne regarde que toi.

Bref, je pense que tu as bien compris pourquoi ne pas mettre de capote. Ça fait débander, ça peut faire mal, ça peut craquer, et en plus, ça vide complètement ton compte en banque - car on sait bien que tu as des tonnes de filles à niquer, et donc autant de condoms à acheter. Sois un homme, un vrai, baise à même la peau pour des sensations naturelles, et n’aies pas peur des maladies ou des enfants, tout ça, c’est que du superficiel qu’on invente à la TV pour se faire de la thune sur ton dos. Peace !

Mais voilà, ce gros facho a décidé de refiler l’héritage à des oeuvres caritatives. Tu sais ces associations où t’es censé aider le tiers monde puis le fric disparaît toujours dans les poches des organisateurs. Où sont passés les milliards pour Haïti ? Après, on va pas polémiquer non plus.

Et là tu te dis que dans mon histoire un raciste refile du fric au tiers monde et c’est plutôt bizarre ; c’est le coup classique du « j’aide les petits noirs tout en pensant qu’ils sont franchement arriérés » propre à tous ces grands-parents bornés.

Toi, tu es là pour savoir quoi offrir à ce putain d’enterrement. Avouons-le, tu t’étais jamais posé la question avant. D’ailleurs, personne se la pose jamais.

Le coup classique des fleurs

Tu as direct pensé aux fleurs, puis tu t’es renseigné vite fait sur Internet avant de réaliser que ça coûtait un putain de bras et que ça pourrissait super vite.

En plus, le problème avec les fleurs c’est qu’il y a toute une symbolique derrière que seuls les grands romantiques connaissent ; je sais bien que t’es un gros con et que tu savais même pas que le Pied d’alouette était signe de légèreté. En bref, il y a plus simple comme cadeau.

Ce qui fait vraiment plaisir

Quand un mec clamse, il y a toujours une petite réception cool où tout le monde pleure ensemble et raconte à quel point ce gars totalement banal était génial et extraordinaire. Le bon plan, c’est de ramener à manger.

Tu aimais pas trop la personne parce qu’il était anti-nippon, mais tu es venu parce qu’il y a de la bouffe gratuite ? Prépare des petits sushis. Ce gars était un vrai pote et aurait aimé que sa réception se déroule dans la joie ? Fais un spacecake bien chargé et files-en à la grand-mère.

Et puis si tu rates ton gâteau, t’auras qu’à mettre ça sur le dos de la tristesse. De toute façon ce qui compte, c’est de pas débarquer les mains vides et passer pour le radin de service.

Le meilleur du meilleur

Si tu connaissais bien la personne, tu sauras quoi offrir. Dans la réalité, s’il y a quelque chose à foutre dans le cercueil ou sur la tombe, ce n’est pas des fleurs banales qui vont faire s’enrichir les marchands de mort.

Un mot, un objet particulier, un symbole. Réfléchis bien et tu finiras par trouver ce qui correspond à la situation.